FALL ROUND UP à GELSENKIRCHEN les 3-4-5 septembre 2010
Dès le Spring Jamboree de Munich (mars 2010), nous avions fait notre inscription.
Ensuite, Dominique, organisatrice en chef, avait réservé
l'hôtel, l'avion, et une voiture de location. Tout prévu ! Bravo Domi !
Le vendredi 3 septembre, Pierre (GUERINEAU) emmène les 3
grands-mères à Roissy : Dominique, Marlyse et Jeanne. 9 h 15 : décollage
pour Düsseldorf. Là, nous prenons la voiture de location, une Ford
Focus noire, Dominique au volant ! une bonne heure nous amène à
Gelsenkirchen sans encombres.
Pause déjeuner : 2 grosses et délicieuses pizzas et une salade
pour 3. « Aber zu viel » : beaucoup trop ! Puis, à la recherche de
l'hôtel ! Sans GPS, ni plan de la ville, c'est un peu compliqué mais
nous finissons par repérer le lieu de la danse, une école (Gesamt
schule) et l'hôtel BALKANHOF, à 3 km. Un hôtel avec une salle de
restaurant très pittoresque : un clin d'œil au pays de la Ruhr Valley.
Nous posons nos valises, nous nous préparons à aller danser pour 17 h.
Une petite balade autour de l'école où nous dansons nous fait
entendre une répétition tonitruante d'un grand concert et on apprend que
notre rassemblement de square dance fait aussi partie d'un ensemble de
manifestations culturelles à Gelsenkirchen car la Ruhr Valley, pays
minier dans le passé, et désigné « Capitale de la Culture » en 2010,
fait sa reconversion vers les Nouvelles Technologies et la Culture.
17 h 30, après avoir repéré les différents halls nous
concernant, nous sommes sur la piste du Mainstream. Bonjour à Joachim, à
Stephan Rohrbach et à quelques autres. Et ça swingue !
18 h 30 : passage à la salle de Plus, puis en salle de A1/A2,
où l'on retrouve Monique des Rabbits and Doves (Elle a fait la route
depuis le sud de la France. Quelle envie de danser !). 4 Françaises de 3
clubs différents !
Moment de vérité ! le A1 se passe bien. Nous essayons le A2. Ce
n'est pas parfait mais nous nous sentons au niveau des autres. Alors,
c'est parti pour « tout » le A2 possible pendant ce week-end.
Dimanche
matin, pendant une heure avec Anders BLOM, nous ferons même un
sans-faute ! Inoubliable !
Mais revenons à vendredi soir. Nous dansons jusqu'au bout : 22
h. Alors, fatiguées et affamées, nous aspirons à une bonne soupe ou
autre, or tout est fermé. Nous nous voyons contraintes de « mendier » un
petit sandwich auprès de notre hôtelière qui, aimablement, nous donnera
un plateau copieux à manger dans la chambre.
Ouf ! une bonne nuit, un
petit déjeuner avec œuf à la coque, charcuterie, fromage et petits pains
chauds... et nous voilà reparties pour la journée, de 12 h à 22 h.
Le A2 ne nous fait plus peur. Les restes des sandwiches de la
veille seront notre coupe-faim avec un peu de raisin acheté à la
supérette le matin.
A 19 h 15, nous observons, depuis les gradins, assises enfin,
la Grand March : 268 clubs et 1452 danseurs sont présents. Après ce
temps de repos, nous redescendons dans l'arène jusqu'à plus soif ! Une
tentative de repas infructueuse, le service était trop lent... ou les
Françaises trop impatientes ? Il nous reste un bout de pain et du
fromage, heureusement.
Dimanche matin : A 10 h sur la piste. Un coup d'éclat ! Nous
nous arrêtons à midi, pour manger disons, un vrai repas à la cafétéria
(ouverte cette fois-ci). Et « aufwiedersehen ».
Direction Dûsseldorf, pas d'embouteillages redoutés. Un peu
difficile de trouver où déposer la voiture. Mais nous avons 2 bonnes
heures d'avance à l'aéroport. Le temps de flâner, de déguster une bonne
glace et d'assister à un beau numéro de danse dans le hall de
l'aéroport.
Vol de retour sans souci, métro parisien sans délai (Domi
avait déjà pris des billets pour éviter la queue !) et Pierrot attendait
son « harem » à la gare d'Orsay vers 21 h.
Expérience heureuse à renouveler ! et un grand MERCI à Domi et Marlyse.
Jeanne